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Le principe de l'identite des indiscernables constitue l'un des aspects essentiels de la metaphysique leibnizienne de la substance. Il implique notamment que toute substance s'individualise par la totalite infinie de ses proprietes. Sur le plan epistemologique, ce principe pose toutefois probleme: comment un entendement fini parvient-il a se representer les individus, sachant que seul l'entendement de Dieu possede la capacite de connaitre la serie infinie des proprietes qui singularise la substance? L'auteur vise ici un double objectif. D'une part, demontrer qu'il existe chez Leibniz une philosophie de la connaissance suffisamment distincte des autres disciplines, en particulier de la logique et de la metaphysique. D'autre part, examiner l'impact de cette epistemologie sur la theorie de l'individuation. Il s'agit d'analyser les differents moyens employes par Leibniz pour expliquer la conception des etres individuels du point de vue de la representation humaine.
English summary: This book examines the philosophy of Elisabeth of Bohemia in conjunction with Descartess. She maintained a philosophical dialogue with another philosopher employing pertinent arguments. In addition, she perhaps developed her own theses, truly philosophical theses which can be better understood in consideration with her numerous correspondents. The study seeks to better understand Elisabeths role in Cartesian thought, and to determine her own philosophical thought. French description: Le titre meme de ce volume, sous forme d'interrogation, est a comprendre comme un postulat. Il s'explique comme suit: il s'agit de s'interroger sur la pensee philosophique d'Elisabeth tout autant que sur celle de Descartes. La reflexion d'Elisabeth semble en effet posseder une dimension philosophique a deux titres au moins: d'abord parce que la princesse entretient un dialogue philosophique de haute tenue avec un autre philosophe, en deployant des arguments pertinents; ensuite parce qu'elle developpe peut-etre elle-meme des theses qui lui sont personnelles, qui seraient des theses au sens fort et pleinement philosophique du terme, et dont l'etude pourrait etre affinee par la prise en consideration de ses tres nombreux autres correspondants. Reste un scrupule: celui de trahir le souhait meme d'Elisabeth de cantonner ses echanges intellectuels au plan prive, en la propulsant en pleine lumiere et en lui faisant endosser une posture philosophique qu'elle a soigneusement evitee de son vivant. Qu'on songe qu'elle voulait que cet echange soit code Mais comme le premier traitre fut Descartes lui-meme, transmettant les lettres d'Elisabeth a Christine de Suede, considerons-nous comme habilites, en bons cartesiens, a divulguer la pensee de la princesse palatine. C'est a ce prix en effet, que nous pourrons redefinir le role de cette derniere dans le cartesianisme, determiner s'il existe une pensee propre d'Elisabeth et enfin, si elle existe, savoir en quoi elle consiste.
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