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Since the turn of the millennium, more than one million people have been killed and 2.3 billion others have been directly affected by natural disasters around the world. In cases like the 2010 Haiti earthquake or the 2004 Indian Ocean tsunami, these disasters have time and time again wrecked large populations and national infrastructures. While recognizing that improved rescue, evacuation, and disease control are crucial to reducing the effects of natural disasters, in the final analysis, poverty remains the main risk factor determining the long-term impact of natural hazards. Furthermore, natural disasters have themselves a tremendous impact on the poorest of the poor, who are often ill-prepared to deal with natural hazards and for whom a hurricane, an earthquake, or a drought can mean a permanent submersion in poverty. The Economic Impacts of Natural Disasters focuses on these concerns for poverty and vulnerability. Written by a collection of esteemed scholars in disaster management and sustainable development, the report provides an overview of the general trends in natural disasters and their effects by focusing on a critical analysis of different methodologies used to assess the economic impact of natural disasters. Economic Impacts presents six national case studies (Bangladesh, Vietnam, India, Nicaragua, Japan and the Netherlands) and shows how household surveys and country-level macroeconomic data can analyze and quantify the economic impact of disasters. The researchers within Economic Impacts have created path-breaking work and have opened new avenues for thinking and debate to push forward the frontiers of knowledge on economics of natural disasters. "A great report and an important addition to the literature about the economics of disasters and the cost-effectiveness of prevention, mitigation and adaption, including a good number of interesting and relevant applications from developed and devloping countries."-Javier E. Baez, Independent Evaluation Group, The World Bank
Sub-Saharan Africa has the youngest population of any region of the world, and that growing working-age population represents a major opportunity to reduce poverty and increase shared prosperity. But the region's workforce is the least skilled in the world, constraining economic prospects. Despite economic growth, declining poverty, and investments in skills-building, too many students in too many countries in Sub-Saharan Africa are not acquiring the foundational skills they need to thrive and prosper in an increasingly competitive global economy. This report examines the balancing act that individuals and countries face in making productive investments in both a wide range of skills - cognitive, socio-emotional, and technical - and a wide range of groups - young children through working adults - so that Sub-Saharan Africa will thrive.
Malgré la forte croissance économique que l'Afrique subsaharienne a connue ces vingt dernières années, les niveaux de transformation économique, de réduction de la pauvreté et de développement des compétences dans cette partie du monde sont bien inférieurs à ceux des autres régions. Des investissements judicieux dans le développement des compétences, en accord avec les objectifs politiques de croissance de la productivité, d'inclusion et d'adaptabilité, peuvent aider à accélérer la transformation économique de la région subsaharienne au XXIe siècle.L'augmentation de la population en âge de travailler en Afrique subsaharienne constitue une réelle chance d'accroître la prospérité collective. Les pays de la région ont investi massivement dans le développement des compétences ; les dépenses publiques consacrées à l'éducation ont été multipliées par sept au cours des 30 dernières années, et le nombre d'enfants scolarisés est aujourd'hui plus élevé que jamais. Pourtant, les systèmes d'éducation de cette population n'ont pas donné les résultats escomptés, et ces insuffisances entravent considérablement les perspectives économiques. Dans la moitié des pays, moins de deux enfants sur trois terminent l'école primaire, et encore moins atteignent des niveaux supérieurs d'enseignement et obtiennent un diplôme. Les acquis d'apprentissage demeurent faibles, ce qui entraîne des lacunes dans les compétences cognitives de base telles que la lecture, l'écriture et le calcul, aussi bien chez les enfants, les jeunes que les adultes. Le taux d'alphabétisation de la population adulte est inférieur à 50 % dans de nombreux pays ; la part des adultes sachant lire, écrire et compter de manière fonctionnelle est encore plus faible.Une réforme du système est nécessaire pour réaliser des progrès significatifs. De multiples agences aux niveaux national et local sont impliquées dans les stratégies de développement des compétences, faisant des compétences « le problème de tous, mais la responsabilité de personne ». Les politiques et les réformes doivent permettre de renforcer les capacités des politiques qui ont fait leurs preuves et d'instaurer des mesures incitatives visant à faire converger le comportement de tous les acteurs dans la poursuite des objectifs de développement des compétences au niveau national.Le développement des compétences en Afrique subsaharienne, un exercice d'équilibre. Investir dans les compétences pour la productivité, l'inclusion et l'adaptabilité présente des données qui éclaireront les choix stratégiques des pays en matière d'investissements dans les compétences. Chaque chapitre aborde un ensemble de questions spécifiques, en s'appuyant sur une analyse originale et sur une synthèse des travaux existants pour explorer les domaines principaux : comment les compétences appropriées à chaque étape du cycle de vie sont-elles acquises et quelles défaillances du marché et des institutions affectent le développement des compétences; quels systèmes sont nécessaires pour que les individus aient accès à ces compétences, notamment les investissements consentis par les familles, les institutions du secteur privé, les écoles et autres programmes publics; comment ces systèmes peuvent-ils être renforcés; comment les personnes les plus vulnérables, à savoir celles qui ne font pas partie des systèmes standards et qui n'ont pas réussi à acquérir des compétences essentielles, peuvent-elles être soutenues. Les pays de la région seront souvent confrontés à des arbitrages difficiles qui auront des effets distributifs et influeront sur leur trajectoire de développement. Des dirigeants engagés, des efforts conjoints de réforme et des politiques bien coordonnées sont essentiels pour aborder le délicat exercice d'équilibre que représente le développement des compétences en Afrique subsaharienne.
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